Avec ce nouveau décret, le consentement présumé de 1976 est réaffirmé.

Nous sommes tous donneurs, sauf si nous nous inscrivons sur le Registre National des Refus (RNR), détenu par l’Agence de la Biomédecine.

Le corps n’appartient pas à la famille.

C’est l’avis de la personne décédée, exprimé de son vivant, qui compte.

Si la personne ne s’est pas exprimée contre le prélèvement d’organes en vue de greffe, il y a prélèvement.

Si les proches refusent, ils devront exprimer par écrit dans quelle circonstance le défunt s’est exprimé contre.

Là réside la nouveauté, et il s’agit d’un point important. La loi est encore trop méconnue, nous devons participer à sa promotion.

C’est la raison pour laquelle il est primordial d’en parler autour de soi.


Source : / https://www.legifrance.gouv.fr/eli/decret/2016/8/11/AFSP1612425D/jo

Menu